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mrmzs. Mg Les dem: rivaux s’a1·mentdu ccsto, attacbé ai leurs bras par de longues courroies entrelacées, et entrent danslarène les yeux etiucelants de fureur. · · D'abord lls se disputent lavantage de présenter le dos aux rayons du soleil. Ton adresse, 0 Pollux! l’ernporte sur ton colossal ennemi, et lesrayons de Pastre au jour tombent düplomb sur le visage dlmycus, qni, trans- r porté de rage, favanee en cherchant a porter les premiers coups; mais le lilo de Tvndare le prévient et le frappe sur la joue. Alors la threur du geant redouble, il marche en avent et le emnbst_s’anime. Les Bébryces font retentir Pair de leurs cris de joiei Les héros grecs encouragent le vaillant Pollux, et tremblent que ce nouveau Tityus ne Paocable de son horrible masse dans cette arène si étroite. Mais le fils de Jupiter le presse de tous côtés, frappe tour atourdescleux mainsetrepousse les attaques de finso- lent lilo de Neptune. Celui-ci sarretc GOIIIIUG enivre de coups; il vomit un sang noir, ses joueset ses mteboires sont meurtries, et ses yeux paraissent a travers renom de son visage. Ace spectacle, les princes grecs foot retentir le rivage fun cri de joie. Cependant Pollux harcèie sans relâche son ennemi par de fausses attaques. Enfin , le voyant incertain sur sa dé·· fense, il lui assène un coup de son eeste au-dessusdtt nez, entre lcssomcils, et lui dépouille le front jusquà Fos. Legeant chamcèle, tombe et roule sur le gazon en· sanglante. Bientot il se relève, et le combat resorarnsnce avec une nouvelle fureur. Les deus rivaux se portent des coups terribles; mais cen du chef des Bébfyces ne tombent que _ sur la poitrine et loin de la tete de son adversaire, tamlts que les coups de Pinvineible Pollux couvrent de plaies dégouttantes le visage d’Amycm. Alors, inondé de sueur, haletant de fatigue, le farouche géant n’est pins qxfnn homme ordinaire, au lieu que le frère de Castor sembie puiser dansle combat des forces nouvelles : ses membres at