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au rnsocnrrs. eompgnons te laisser en arrière, eomme la brebis dont une épine a blessé le pied. Que feras-tu vers le milieu du jour et le soir, si tu es déja fatigué au commeweementde ~ ton travail? · . \ _ itÃ1·1·ns. e . 0 Milon! moissonneur infatigable, eorps plus dur que le-fer, ntas-tu jamais regretté une amie absente? ‘ ` mtos. A ' Jamais. Un journalier a·t·il le temps de former des re- grets? · · . . unes. A A L’amoux· jamais n’a troublé ton sommeil? ~ intox. · M’en préserve le ciel ! il est dangereux pour le chien de goûter de la viande. · snrns. . Fjbien! Milon, moi, j’aime depuis onze jours. = nues. ‘ C’est-à-dire que tu puisœ à pleine coupe dans le nec-i tar de Bacchus. Moi, je bois à peine d'un peu de vin I grossier. ` ' euros. Aussi mon petit champ devant ma porte est inculte et hérissé d’épines. ` · g J mou. » · ‘ · Et_quelle est la- beauté qui cause ton tourment? _ — xmrus. La fille de Polybotas, qui l'autre jour chez Hyppoooon faisait danser les moissonneurs aux sons mélodieux de sa flûte. · · · ' inrou. Le ciel sait donc punir? Tu as enfin trouvé ce que tu cherchais depuis longtemps! cette cigale devineresse va donc habiter avec toi, et partager ta couche conjugale T nsrres. — Tu ris, mais sache que Plutusn’est pas le senldieu qui