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ees ruàocnmc. connus. a Mes chèvres se nourrissant de cytise et d`égile, fou- lent le jonc et sereposent sur le feuillage de Parhousier üeuri. . Licou. a Partout mes brebis rencontrent Podorante mélisse, et pour elles la rose s'épanouit sur le lierre. courus. a Je n'aime plus Alcippa; elle a pris ma palomhe sans me saisir par l’oreille pour m`embrasser. · _ neon. '« Moi, j'aime toujours Euyiéda; toutes les fois que je joue devant lui de ma tlûte, il m’embrasse tendrement. cousus. a Lacon, jamais on n’a vu la pie disputer le prix du chant avec le rossignol, ni le hibou avec le cygne. Toi, tu n’es qu’un sot et un jaloux. ai uoason. Bergers , cessez , je vous l’ordonne. Cemalas je Uadjuge le mouton : lorsque tu le sacrifieras aux uymphes, 11'0u- blie pas d'env0yer de sa chair délicate à Morsou. n . commis. ` 0h! oui, je t‘en enverrai, j’en jure par le dieu Pan. Maintenant, mes boucs, bondissez de joie; soyez témoins des transports que me cause ma victoire sur Lacan et le prix que jajsremporté : ma gloire m`elève jusqu'aux cieux. Courage, mes chèvres, demain je vous laverai toutes dans les sources du Syharisl Hé! toi, blanc et pêtu- Ã lzlul bélier qui menaces de la cûrne, je te frappemi si lu uses tïnpproelier des chèvres avant men saeriliee aux uymphes. Tu reconimenees 1... Si jene Fessomme, je con- sens qu’un nfappelle Melanthe. l