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au rusoenms. veteaux, élevez des chiens pour qu‘ils vous dévorent! - ` moon. Des leçons! toi! et quand donc , je te prie_, envieux et chétif avorton', est·il sorti de ta bouche quelque chose de bon et de sage dont je puisse me souvenir? . connus. , Quand? mais le jour où... tu sais... la douleur doit te le rappeler. Les chèvres bondissaient autour de nous, et le bélier se dressait sur ses pieds de derrière. `~ races. Que ton corps, vilain bossu , 'n‘entrc pas sous la terre _ plus avant que... Allons, viens, commence. " connus. Non, je ne quitterai pas ces chênes ni ce tendre gazon où l‘abeille bourdonne autour de sa ruche. Ici deux sources versent une onde pure, les oiseaux font entendre leurs doux gazouillcments sur ces arbres , et cette ombre est préférable à la tienne. D'ailleurs ce pin laisse tomber ses fruits. moon. Mais tu te reposeras ici sur des toîsons d’agncaux, sur unduvet plus doux que le sommeil.'Ces peaux de boucs sentent encore plus mauvais que toi. Demain j’oll`rirai aux nymphesune grande coupe remplie d’un lait délicieux et une autrede la liqueur de l’oIive. connus. . Et toi,`tu fouleras ici la molle fougère et le pouliot fleuri; j’étendrai sous toi des peaux de chèvres mille fois plus douces que tes toisons d`agneaux. Poilrirai à Pan huit vases de lait et huit ruches garnies de leurs rayons pleins du miel le plus pur. Lncon. _ Reste donc là-bas à l‘omhre de tes chênes favoris, et commence ta chanson. Mais qui sera le juge T Si Syoopos venait! . D _ ·_