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as: meociwre. ' épris de cette belle aux yeux noirs que jadis il aimait tant? coaraou. Plus que jamais, lc vieux fau. L’autre jour je les sur- pris dans l’étable se prodiguant de tendres caresses. auras. Courage vieux paillardl Défio donc dans leurs amou- reux débats , les faunes et les sntyres aux jambes grêles. V. LES CHANTEURS BUCOLIQUES. · Combat de deux bergers pour le prix du chant. Ils gagenl., l’un un che- VEGIB, OI Ylllll'6 \|I\ IQDBIU. MOMOII, Pri! p0l\\‘ illfü, pl`0!lÈ\l¢0 0Il HIGH? de Comm:. — Joie du vainqueur. COMATAS , LACON , M0nSON. , . V cousus. ·· ' Mes chèvres, fuyez Lacan lo Sybarite ; il m’a dérobé ma toison. y · l ` · Lacan. Quai! mes brebis ,.vous ne fuyez pas de cetlcsource ? vous ne voyez donc pas Comatas qui m’a volé ma tlüte 9 ` comms, . Quelle tlûte , vil esclave? As—tu jamais eu une tlûte? N‘est-ce pas assez pour toi de souffler avec Carydon dans un pipeau sauvage? Lacan. Celle, excellent jeune _h0mme, que Lycon m'avait don- née. Mais toi, quelle toison t’hi-je dérobée Y parle donc , Camatas. Jamais ton maître Eumoras en a-t-il mis une sous lui pour dormir? » cousus. _ Cette toison bigarrée que m’avait donnée Crocylus le jour où il sacrifiait une chèvre aux nymphos. Toi, mé- chant, tu en séchais de jalousie; enfin tu m’en as dé- pouillé. , .