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M ' Hamon. ‘ , tes eoneiteyenn, ne t'eut pas exilé de Gnosss, tapatrie, tel pieds légers se seraient eugourdls dans une honteuse Imc- tion; au lieu que maintenant, couronné àûlympie ', deux fois vainqueur à Delphes et à l’lsthme, tu jouis d'un bon- heur tranquille dans ta nouvelle patrie, et tu rends cé- l lèbres ces bains selulalres ° où folâtrent les nymphes. j •©• TREIZIEME 0LYM1>1oUE. rom: xianornon *, mt CUMNTIII, vxinounun A LA uomisn 2*r AU PENTATHLI. En célébrant une illustre maison, trois fois victorieuse _ aux jeux olympiques, bienveillante pour ses concitoyens et oflicieuse envers ses hôtes, j'élèverai la gloire de l'heu- reuse Corinthe, séjour de Neptune lsthmien, et peuplée •l'une florissante jeunesse. C'est à Corinthe qu‘hablte Eu- nomle ‘, avec ses sœurs , la Justice , ferme appui des cités, et le Paix, smic des hommes. Ces trois célestes filles de i Thémis, mère des bons conseils , dispensent aux mortels les_ richesses et le bonheur, et sont ennemies de l’Injure, tllle audacieuse de la Satiété '. · Une noble hardiesse délie ma langue, et la force irré- ; slstible du génie m‘excite à publier les titres d'honneur i de Corinthe. Les Heures , qui sèment les neurs sur leurs j traces, ont souvent ramené pour vous, 6 descendants j ' La vlctolre qui fait le sujet de cette ode est dc la soixante-dl:-septième \ . olympiadc. — • il y a du sources d’eiux chaudes dan! les environs d‘H|mèrU. •Xéuophen, Ille de Tbeunlus , élall. de Corinthe. Sn victoire est de le p Iolxmte-dixmeuxlàmeolynsplude. ‘ Bunomle, fille de Jupiter et de Thémis. • Plndure fait Vlnjure mère de la S&\l¢lë· Son idee nl': paru plus exscle étant rcloumée.