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F|\AG|tEH‘l’S· Il! semble les dons charmants des Muses et de Vénus , se livre à une aimable gaîté. i nm. sun minou. Bouvier ', fais paître plus loin tes vaches, de peur que tu ne chasses devant toi avec elles la génisse de Myron , comme vivante. uv. Sun LE utun. Non, cette vache n’a pas été jetée en moule; c’est de vieillesse qu’elle est devcnue'd’airain; Myron a fait croire qu’elle était de sa main. · ‘ nv. tmrnsinc. Reine des déesses, ô Cyprisl ô Amour, souverain des mortels! ô Hyménée, conservateur de la viel c’cst vous que je chante; oui, c’est vous, Amour, Hyménée, et toi, j reine de Paphos, que je glorifie dans ces vers. Regarde ta jeune épouse , regarde-la, jeune homme. Éveille·—toi , chasseur , ou la perdrix s’cnvolera. 0 Stratoclèâ. ami de Cythérée, ôStratoclès, époux de Myrillel vois ton épouse bien-aimée. Vois comme est belle sa chevelul'€· Gûmme elle-même est fraîche, comme elle a de l'èclat_l La rose est la reine des fleurs, et Myrille est la rose de ses jeunes compagnes. Que le soleil éclaire ta couche et que le cyprès crolsse dans ton jardin! · iv:. _ J’ai vu Simale dans un chœur, il avait une belle pectis. V Lvn. L’Amour voyant mabarbe grisonnante , ouvre ses ailes dorées et fuit. ' Ptinc attribue cette inscription à notre lyrique ; vgunniu et Bruuck hlui çogteltent. ,6, · .