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xxxiii.

Lançant le cottabe 1 en courbant la main avec grace.

xxxiv.

Porter la main dans la poêle.

xxxv.

Quelle aimable jeune fille te tournant l'esprit t‘a charmé_au point de te faire danser aux sons de l'hémiope 2, cette flûte aux notes si tendres ?

xxxvi.

Mélodieuse, aimable hirondelle.

xxxvii.

O fils d‘Aristocles ! le plus brave d’entre mes amis, je te pleure : tu mourus à la fleur de tes années, mais tu as vengé ta patrie, et sa liberté est ton œuvre.

xxxviii.

Le cheval que voici, Phidolas, qui vit le jour à Corinthe, aux murs étendus, l'offrit au fils de Saturne comme monument de la vigueur des pieds rapides de ce coursier.

xxxix.

Praxidice fit cette robe, mais c’est Dyséris qui en imagina le tissu, car entre elles deux l’amitié est mutuelle.

xl.

Dieu à l'arc d’argent 3, sois propice et accorde ta gra-

‘ Le cottabe était un jeu originaire de la Sicile, qui consistait à lancer dans un bassin le reste du vin de sa coupe, en tournant la paume de la main en haut, ainsi que le décrit Athénée.

' L'hèmiope était une flûte à peu de trous, comme l'indique son nom.

‘ Surnom de Phébus-Apollon , dans Hoërl.