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.' 1 ,00ls; tft . A L i.n.—sim.i.u1—utu. b Ànacréon , quand je te vois au milieu d’un chœur · lëllnes gens, ta jeunesse reparalt; alors, tout vieux que je suis, j'ai des ailes pour la danse. Attends-moi , Cybèle, donne-moi des fleurs, je vais m’en couronner. Loin, loin, bhnche vieillesse ; jeune, je danserai avec les jeunes gens. À|>portez·moi , quelques-uns de vous, de. cette liqueur que fait 1·uisselerl’Automne, l‘amie de Bacchus , et vous Ierez témoins de la force d’un vieillard qui sait parler, tlllî sait boire et délirer avec grace. ` tm. son tus nusrs. . Les chevaux ont sur la cuisse une marque faite avec du feu; les Parthes ont des tiares auxquelles on les recon- nalt;moi,je distinguesoudain sicesontdesamants que je vois; ils ont surle cœur une marque presque imper- œptible. . uv. son i.m—usui:. Déja sont toutes blanches et ma tète et mes tempes; déja sont bien loin de moi la jeunesse et les graces; mes dents aussi ont vieilli. Peu de temps, dans cette vie qui est si douce, me reste encore. A cette idée, fréquemment je gémis, tant j'ai frayeur du Tartare. La secrète demeure de Pluton est épouvantable , la route souterraine qui y conduit est aiïreuse, car celui qui 7 est descendu n’est pas près d’en remonter. tv. . Quand l’or, ce transfuqe aux pieds rapides comme les _ · vents, fuit loin de moi, car toujours il me fuit, je ne me mets point à sa poursuite. Eh! qpel est celui qui deairiv