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Apparemment que le diable de con
Avait le vit tout entier dans la goule.
CONTE XLII
Le plaisir de la solitude.
Pour adoucir sa solitude,
Je ne sais quel frère chartreux,
Préférait les jeux amoureux,
Et mettait sa béatitude
Dans l’attouchement de son vit.
Frère Alexandre qui le vit,
Et qui, depuis quelques semaines,
Se doutait bien de ses fredaines,
Guetta le délicieux moment
Où son luxurieux camarade
Jouerait le rôle d’amant.
— Frère, lui dit-il à l’instant
(Car il était en embuscade),
Pourquoi vous fatiguer ainsi ?
Tour à tour branlons-nous le vit.