La malade sur ses genoux,
Et graisse la belle partie
Dont l’aspect rend les hommes fous.
Il la fait retourner et relève sa cotte,
Présente au feu son joli cul,
Qu’il se plaisait de voir à nu.
Patiemment il en ôte la crotte,
Et puis de ce baume puissant,
Il enduit ses deux grosses fesses
Qu’il avouait mériter des caresses.
Elle fut guérie à l’instant :
En ouvrant le cul de la belle,
Il saisit l’arête cruelle
Que le beurre avait attiré
Près de l’anus. Il fut très admiré.
Je tiens de lui ce secret secourable :
Si je mens, je me donne au diable.
CONTE XXXV
Le Cocu reconnaissant.
Ah ! que l’amour a de ressources
Pour attraper un inquiet époux !
Les propos, l’intrigue, la bourse,
Tout parle pour cocufier un jaloux.
Je ne sais quelle Mathurine,