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POSTFACE




Je n’ai mis aucune préface à la tête de mon histoire, parce qu’il n’était pas encore temps de parler de mon auguste con. Maintenant, que j’ai tout dit et que je suis connue, je me plais à répéter à tous mes lecteurs que, pour leur procurer le plus tendre optimisme, mon charitable chanoine me permet d’essayer la raideur de leur vit et de leur donner la curieuse vue de ma face postérieure.

S’ils sont inscrits sur le catalogue des philotanus, et m’en exhibent les preuves juridiques, je pourrai, pour les obliger, ne pas trouver mauvais qu’ils parcourent cette jolie portion de mes

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