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LYNDAMINE

OU
L’OPTIMISME DES PAYS CHAUDS


Cul de lampe de fin de paragraphe
Cul de lampe de fin de paragraphe


PRÉLIMINAIRES

Honni soit qui mal y pense. C’est l’optimisme que je veux établir. Les savants sont plus instruits que moi des principes du philosophe allemand[1] qu’ils en regardent comme le père. Ce n’est pas de cet optimisme que j’entretiendrai mon voluptueux lecteur. L’on s’est encore récrié contre l’optimisme d’un moderne[2], qui, sous le nom de Candide, en a parcouru toutes les branches ; et la raison que l’on nous en a donnée, c’est qu’une vieille fille, œuvre sublime d’un outil papal, s’y plaint qu’elle n’a qu’une fesse, et que je ne sais quelle Paquette y lève ses jupes au premier venant et confond le seigneur avec le malotru. Que le frère Giroflée

  1. Leibnitz, homme célèbre.
  2. Candide, de Voltaire.