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II


présent un livre dont les phrases sont moelleuses, à des Noëls anciens et nouveaux, à je ne sais combien de sottises que l’on respecte, parce qu’elles ont passé sous la presse avec approbation et privilège. Mais je me réserve, à la fin de cette brochure, de dire en honnête fille comment et pourquoi mon histoire a été publiée. Je n’ai donc aucun titre solide pour la décorer d’une préface ; une post-face vaudra peut-être mieux, et j’y penserai.

Quant à présent, je préviens que mon histoire supposant une foule d’interlocuteurs, j’eusse fatigué tous les puristes, si j’avais suivi la maxime absurde de répéter les dit-il, les dit-elle. Je ne sais quel lourdaud s’est avisé de reprocher à monsieur Marmontel d’avoir délivré le conte de ces fastidieuses répétitions. Pour moi, je le remercie, et je l’en félicite.