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mier. Julie tomba au second évêque. Culrond à un de nos petits-maîtres. C’était bien de l’argent perdu, nous en parlerons. La femme de chambre enfin se vit partagée entre les deux autres. C’était trop peu pour de tels appas ; et aucun de ces animaux qui courent les femmes ne lui donna un instant de plaisir. J’aurais presque envie de répéter l’ancienne ordonnance.

« Coupez donc tous ces pauvres vits. »

Le second acte changea la scène. Monseigneur le diocésain, qui m’avait sondé..... le cul, revint à moi. Je le renvoyai foutre ailleurs. Il voulut se rabattre sur mes camarades ; elles fuient encore. La malheureuse femme de chambre en tremblant le mordit aux fesses et au vit. Il fut encore renvoyé à la principale diocésaine pour décider avec elle le plus pressant des cas de sa conscience. La femme de chambre eut l’autre évêque et parut s’en contenter. Je me rabattis sur celui des moines qui me parut le plus nerveux. Fanny et Julie s’adjugèrent les deux autres. Le hasard ou plutôt le bonheur du fermier général le mit dans les bras et sur le coussin de la Culrond.

Cet acte, qui était le dernier, fut le plus chaud. Les croix d’or, les rabats, les capuchons, les titres, tout fut confondu. L’on ne vit sur la scène que des culs, que des vits, que des cons multipliés mille fois par la réflexion des miroirs qui tapissaient l’appartement. C’est là du nouveau ; mais aussi c’est là ce qui donne du ressort. Tantôt dessus, tantôt dessous, mâles en cul, femelles en con, et puis encore mâles en con, femelles en cul (car