— Bonjour à vous, ma douce Francéza !
Moi, c’est à l’étude que je vais.
— Si c’est à l’étude que vous allez,
Faites (faire) mon cercueil, avant d’aller,
Et mon octave, et mon (grande) service,
Mon anniversaire, comme c’est l’usage !
— S’il vous arrive aucun ennui,
Ma douce, écrivez-moi (une) lettre.
A quelque trois semaines de là,
Resta Françoise (clouée) sur son lit.
Françoise Le Rolland disait
A son père, à sa mère, certain jour :
— Mon père, ma mère, si vous m’aimez,
Un prêtre pour moi vous chercherez.
— Quand vous voudrez, Françoise, ce sera fait ;
Envoyez (de vos) nouvelles jusqu’au clerc.
— Cherchez-moi un prêtre, puisque je le dis,
Ce n’est pas avec des clercs que j’ai la tête, maintenant.
Quand elle fut extrémisée, qu’elle eut reçu les sacrements,
A sa mère, à son père, elle a dit :
— Mon père, ma mère, si vous m’aimez,
Envoyez (de mes) nouvelles jusqu’au clerc ;
Envoyez un des gens de votre maison,
Ou, sinon, le garçon d’écurie.
Le domestique de sa maîtresse bonjourait,
Dans la ville de Quimper, quand il arrivait.
— Bonjour et joie (à) tous, en cette ville ;
Où est le collège ici ?
Où est le collège ici,
Dans lequel se trouve le clerc de Rozmar ?
Le clerc de Rozmar, quand il l’a entendu,
Sa tête à la fenêtre il a fourré ;
Sa tête à la fenêtre il a fourré,
Le domestique de sa douce il a salué :