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Et Dénombra disait
À ses soldats, là, en ce moment :
— Sellons nos chevaux, mettons-nous en route,
Et laissons leurs maisons aux saints !

Laissons ses maisons à Marie,
Il y avait longtemps que nous l’offensions !…



Ce gwerz m’a été recueilli par mon ami le poète breton J. M. Le Jean ; il lui a été chanté par Marie Ferchal, demeurant dans la ville de Guingamp.



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