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On trouve une situation analogue dans le recueil de M. Jérôme Bujeaud, Chants et chansons populaires des provinces de l’Ouest (tome II, page 239), à la pièce qui porte le titre de : Le Mari assassiné :
….. Quand fut au lit, le soir des noces.
Elle aperçut un ange blanc,
Qui avait l’coeur couvert de sang.
— Ah ! tiens-le bien, ma chère femme.
Ah ! tiens-le bien entre tes bras,
Celui qui m’a mis au trépas.
Garde-le bien, ma chère femme.
Garde-le bien toute ta vi’,
Moi, je m’en vais dans l’ paradis ! —