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Garan Le Briz, à ces mots,
A pris ses clefs :
Il a pris ses clefs,
Et a ouvert la porte de sa mère.
Sa pauvre mère était sur l’aire de la maison»
Et quatre vierges l’ensevelissaient ;
Quatre vierges l’ensevelissaient,
Quatre cierges allumés devant elle.
Il a donné deux baisers à sa mère
Puis il est mort sur la place.
Ils sont tous les deux sur les tréteaux funèbres.
Que Dieu pardonne à leurs âmes !
Ils sont tous les deux dans le palais de la Trinité,
Et puissions-nous y aller les rejoindre !
Chanté par Marie-Josèphe Kerival, domestique
à Keramborgne, — 1848.
à Keramborgne, — 1848.
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