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plaintives ; et ces mains des enfants blêmes, mains tendres, mains pâles de chlorose, mains tordues aux besognes rudes. Oh ! les mains qui travaillent, les mains de vie, les mains lugubres qui se tendent avec désespoir dans les ténèbres axphyxiantes, les mains de vie pour demander la vie. —


Maintenant, l’orchestre verse la valse des roses…

…Viens avec moi pour fêter le printemps.

Et l’allure langoureuse de la mesure entraîne les couples qui valsent et ceux qui écoutent au pays tant désiré de l’aventure sentimentale. Les primes rencontres, et l’émoi doux et poignant des yeux qui