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saines, Sarah lui raconta sa vie, entra dans des détails avec une suave impudeur. Elle parla de ses revenus et Madame Clarizet compta mentalement combien elle pouvait économiser chaque mois.

La bonne mère conclut avec un soupir découragé :

— Et dire que tu es sortie de la bonne voie !

Elle se remit, tandis que Sarah riait cyniquement.

— Tu vas manger la soupe avec nous, ton père sera content de te voir !

— Bien sûr ! fit-elle avec sérénité.


FIN