que celles sachant leur tenir la dragée haute.
Elle se comportait justement ainsi actuellement à l’égard d’un rentier quinquagénaire et espérait retirer bientôt de cette tactique des bienfaits appréciables.
Pour la gouverne de Sarah, elle entra dans les détails, indiqua à quoi elle soumettait l’amoureux transi et le dominait peu à peu.
Ce fut là pour la jeune fille matière à réflexion. Elle comprit pourquoi avec Laveline elle avait échoué, aussi bien qu’avec Louis Fontaine. Elle se promit d’être plus habile à l’avenir.
Elle eut deux longues journées pour méditer et, le lundi, elle se mit en campagne, retournant aux Champs-Élysées, qui offraient, à son avis, le plus de chance de succès.
Vautrée sur un fauteuil métallique en la pénombre d’un recoin bordé de fusains,