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Elle ignorait encore ce qu’elle ferait mais certainement elle agirait.
En attendant, elle intima :
— Mon chéri, fais-nous du thé. Tu sais que je n’ai pas de boniche aujourd’hui.
Il s’éloigna à regret, mais revint bientôt chargé d’un plateau. Il y avait du thé et des biscuits pour les dames, mais pour lui un vieux porto.
Le tapis leur servit de table et ils eurent l’air de se trouver en pique-nique sur une pelouse verdoyante. Ce fut d’ailleurs l’occasion de multiples jeux innocents.
Lorsqu’il s’agissait de Sarah, Louis apportait quelques variantes charmantes à ses recherches ; pour sa femme, il opérait avec rapidité.
Sarah s’amusait fort, elle riait avec des éclats cristallins, tandis que son joli corps charnu se roulait sur la carpette.