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 I — LXXI.


DE LA NATURE DES CHOSES



L’univers et les systèmes 
 I


SOMMAIRE. — Invocation à Vénus et dédicace à Memmius, v. 1-70. — Éloge d’Épicure, v. 70-90. — Crimes conseillés par les religions, sacrifice d’Iphigénie. v. 90-115. — Dangers des fictions ; incertitude de la vie future. La science, unique sauvegarde contre les terreurs superstitieuses, v. 1 16-167. — Rien ne naît de rien ; nul élément premier ne périt, v. 167-282. — Les éléments premiers sont hors de la portée de nos sens, v. 283-343. — Il existe de la matière et du vide, v. 343-424. — Le reste est combinaison, qualité, accident du vide et de la substance, v. 425-484. — Les atomes sont insécables, immuables, éternels, v. 485-636. — Réfutation des philosophes qui attribuent l’origine des choses à un, deux ou quatre éléments : Héraclite (feu), Xénophanes (feu et eau), Parménide (feu et terre), Empédocle (air, eau, terre et feu), v. 637-836. — Réfutation de l’Homœomérie d’Anaxagore, v. 837-928. — Noble ambition du poète, v. 929-959. — Démonstration de l’infinitude du monde, v. 960-1062. — Négation des antipodes, v. 1063-1118