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AVANT-PROPOS
À quelques amis sincères.

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Je ne me figure point qu’un roman soit un ouvrage fort important ; mais je ne le crois pas aussi indigne des lecteurs sensés que bien des gens se l’imagine. La différence d’un roman à un poëme me semble assez légère ; si l’un offre plus de beauté de détail, l’autre présente plus de richesses d’imagination. Quant à l’utilité morale, elle est toute à l’avantage de celui-ci.