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III
Quand il est à la danse,
Oh ! qu’c’est un biau pas !
Il écalle[1] des bras,
Y fait des manigances
Ah ! qu’il est à mon greu,
Ce joli métayeu !
IV
Quand il va à la messe,
Il enteur[2] au lustrin,
Il chante le latin,
Bien mieux que tous nos prêtres,
J’en restons tous bégauds[3]
Tant qu’y s’écotit[4] haut.
(MAXENT).
Cf. : L. Decombe : Chans. pop. d’Ille-et-Vilaine, p. 199.