Page:Louis Bethléem - La littérature ennemie de la famille, Librairie Bloud & Gay, 1923.djvu/67

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

J’ai, dans la première partie de ce travail, dénoncé les écrivains qui ont bafoué la famille et qui, malgré qu’ils en aient parfois, ont contribué à la ruiner dans ses divers éléments et jusque dans ses fondements.


I

L’indifférence et l’inertie des chefs de famille


Ils sont chloroformés par la critique régnante, mais surtout ils se tiennent dans l’ignorance de leurs droits.


Les écrivains cependant ne sont pas les seuls à endosser la responsabilité de ce crime national : ceux qui la partagent avec eux, ce sont — oserai-je le dire ? — les honnêtes gens de France, ce sont les pères de famille, c’est nous.