IX
INSTRUCTION LAÏQUE, GRATUITE ET OBLIGATOIRE
« Petite connaude, tu crois pas qu’il va te dépuceler parce que je le branlerai sur ta moniche sans poil !
— Non ; mais prends bien garde.
— Crains rien. Je vais y frotter le bout de la queue sur ton petit bouton. Ça te branlera aussi ; et on va jouer à qui jouira le premier. Tâche que ça soit toi.
— Je veux bien. J’ai envie.
— Tu vois que t’as envie ! Si t’étais sur le pieu toute seule t’aurais déjà le doigt dans le cul, pas vrai ? Eh ben ? C’est pas plus joli de se branler avec une pine qu’avec un doigt, dis, ma gosse ?
— Si. C’est plus cochon.
— Alors, fais beau cul. Ouvre bien les cuisses. Plus que ça, qu’il voie bien ta fente. À présent, sens comme je le frotte tout du long de ton pucelage. Dis donc si c’est bon, nigaude !
— C’est bon.
— Si t’étais plus dessalée, t’empoignerais la queue toi-même et tu la planterais là, qu’il t’encule un petit peu, sans toucher à ta moniche ; mais ça sera pour une autre fois… Jouis bien, ma cocotte, je te branle comme une reine. Lui aussi, il va décharger. Et toi ?
— Ça va venir… fais encore, encore… plus vite… ah ! ah ! ah !…
— Tiens, saleté, sens-tu comme il te pisse du foutre sur le bouton. »