Page:Louÿs - Aphrodite. Mœurs antiques, 1896.djvu/72

Cette page a été validée par deux contributeurs.

naissait en lui d’un Zagreus épouvanté devant l’approche des Titans. Ah ! comme il était repris par toute la beauté ! comme il s’arrachait à l’amour ! comme il « séparait de la chair l’idée suprême de la déesse » ! comme il se sentait libre, enfin !


Or, il tourna la tête vers les quais, et vit luire dans l’éloignement le voile jaune d’une femme qui marchait.