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qui arrêtait tout profane en l’absence des prêtres ; mais il lui était inutile de prouver aussi naïvement sa future culpabilité, puisqu’une entrée secrète menait au sanctuaire.

Démétrios se rendit dans une partie du bois déserte où se trouvait la nécropole des grands prêtres de la déesse. Il compta les premiers tombeaux, fit tourner la porte du septième et la referma derrière lui.

Avec une grande difficulté, car la pierre était lourde, il souleva la dalle funéraire sous laquelle s’enfonçait un escalier de marbre, et il descendit marche à marche.

Il savait qu’on pouvait faire soixante pas en ligne droite, et qu’après il était nécessaire de suivre le mur à tâtons pour ne pas se heurter à l’escalier souterrain du temple.

La grande fraîcheur de la terre profonde le calma peu à peu.

En quelques instants, il arriva au terme.

Il monta, il ouvrit.