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Ô Philinna, je préfère ta ride, au visage de la jeunesse tout entière. Je désire avoir dans mes deux mains

tes mamelles à la tête pesante et aux mamelons abaissés, plutôt que le sein raide d’une jeune fille de mon âge.

Car ta fin d’automne est meilleure que le printemps d’une autre et ton hiver est plus chaud que l’été d’une étrangère.


Paul le silentiaire, V. 238.