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Par bonheur je vis Prodikê seule, et, suppliant, j’embrassai ses genoux amhrosiens :

« Sauve, lui dis-je, un homme qui va périr avant peu, et contente mon fugitif souffle de vie. »

Quand je parlais ainsi, elle pleurait ; mais, essuyant une larme, de ses jolies mains elle repoussa les miennes.


Rufin, V. 66.