Page:Louÿs - Œuvres complètes, éd. Slatkine Reprints, 1929 - 1931, tome 11.djvu/95

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Ils aiment augurer l’héroïne de leurs poèmes tantôt comme une « gazelle » qu’on poursuit à la chasse, tantôt sous la forme d’une « lance » que l’on saisit, flexible et fine.

Ses yeux belliqueux menacent ceux qu’ils regardent sous les « petites épées noires » qui sont les cils ; et les longues mèches de sa chevelure sont les « serpents » qui la défendent : les serpents protecteurs de sa virginité.