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cérémonies nationales une liberté plus grande, et des ressources moins comptées.

On s’imagine que l’argent ainsi dépensé serait ravi aux besoins du peuple. Il y répondrait, au contraire. Le peuple, qui n’est pas seul à payer les fêtes, est seul à y prendre plaisir, et il le sait bien.


1896.