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[5° Fendu dans Rabelais. Troye. 1613.]

6° Fendu dans le Cabinets des Muses. 1619, p. 4.

7° Fendu dans Iris, 1620, p. 47.


B. — Celui du t. II, p. 469 se retrouve :

1° Intact dans Larivey, 1600, p. 100, 208, 422.

2° Intact dans le Temple d’Apollon, 1611, t. II, p. 94.

3° Écorné au pommeau de droite dans Desportes, 1611 (Nodier), p. 501, 623.

[4° Écorné au pommeau de droite dans Rabelais, 1613.]

Ces parallèles ne laissent aucune incertitude. Il est clair que, dans le courant de l’année 1611, un accident est arrivé dans l’atelier Du Petit Val, entre l’impression de l’Adonis et celle du premier Desportes : les deux culs-de-lampe qui servaient depuis 1600 et 1609 ont gardé les traces d’un choc et ces traces permettent d’établir que le Rabelais de 1613 est sorti de la même officine.

Est-ce le seul ?

Dix autres éditions des Œuvres ont été données d’après le même texte et dans le même cadre : trois parties de 347, 469 et 166 pages. L’une d’elles que je retrouve aussi parmi les livres (Plan, n° 123) est congénère de celle qui est faussement datée de Lyon, Jean Martin 1558 (Plan, n° 95), mais toutes deux diffèrent assez de la troisième pour former une classe distincte.

Quoi qu’il en soit, il est certain qu’en 1613 tout au moins, le premier imprimeur de Rouen tirait