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LXXIV


En toi, Myïskos, les câbles de ma vie sont suspendus ; * en toi aussi le souffle de mon âme ou ce qu’il en reste encore.


Par ces yeux, en effet, jeune homme, qui même aux aveugles parlent, * et par ce tien-lumineux sourcil,


Si vers moi tu tournes nuageux ton visage, je vois l’hiver ; * si rieusement tu me regardes, le doux printemps a fleuri.