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LXIV
Plus maintenant Timarion, qui autrefois était comme la charpente d’une nef creuse, * ne porte le riche rang de rames de Kypris.
Le haut de son dos, comme la corne d’un mât, * est courbé, sa tresse blanche flotte comme le grand câble.
Comme des voiles retombantes pendent les lambeaux de ses mamelles ; * comme par la mer sa poitrine est sillonnée de rides.
En bas, toutes les avaries du vaisseau. Dans la coque, la mer * monte ; et les genoux ont le tremblement de l’Océan.
Malheureux ! de son vivant sur le marais Akhérouside * il naviguera, celui qui montera sur cette vieille icosore.