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XLIII
Douce est ta voix, par Pân l’Arkadien, quand pour la lyre tu chantes * Dzénophila, et c’est un doux air que tu joues.
Où te fuir ? partout m’environnent les Erôs. * Ils ne me laissent pas respirer quelque temps.
Ta beauté me jette le désir, ta voix aussi, * ta grâce, ta… que dire ? Tout. Je suis en feu.