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XV


Oui, par les belles amoureuses boucles de Timo, * par la peau parfumée de Dêmô, hanteuse de rêves.


Oui encore, par les jeux aimés d’Ilias, par cette veilleuse * allumée qui de nos orgies boit tous les chants lyriques,


Je n’ai plus qu’un tout petit souffle, Érôs, sur les lèvres : * si tu veux même celui-là, dis et je l’exhalerai.