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XII
Je suis couché. Foule aux pieds ma nuque, cruel daïmôn.* Je te connais, oui, par les dieux, et que tu es lourd à porter.
Je connais aussi tes flèches en feu. Quand tu jetteras sur mon âme tes torches, * tu n’y brûleras rien, car elle est toute en cendre.