où vous étiez. » Et si tu avais ajouté : « Elle pleurait et pensait toujours à Polémôn », cela aurait été beaucoup mieux.
Je lui ai dit tout cela dès le début, mais je ne t’en parlais pas pour te répéter vite ce que j’avais appris. Dès que je me suis approchée de Parménôn, j’ai commencé ainsi : « Est-ce que, Parménôn, les oreilles ne vous tintaient pas ? car toujours la maîtresse pensait à vous au milieu des larmes, surtout quand quelqu’un revenait d’un combat où il y avait eu beaucoup de tués, elle s’arrachait les cheveux, elle se frappait les seins, elle pleurait à chaque nouvelle. »
Très bien, Dorcas, c’est ce qu’il fallait.
Ensuite je lui ai demandé ce que je viens de te dire, et il a répondu : « Dorcas, nous revenons dans la magnificence. »
Ainsi il n’a pas commencé par dire que Polémôn se souvenait de moi et qu’il souhaitait de me retrouver vivante ?