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LEAINA (Lionne), joueuse de cithare.


CLONARION (Jeune Pousse), jeune fille.


Ce petit dialogue a effarouché tous les hellénistes. Wieland n’osa jamais le traduire. Perrot d’Ablancourt en retranche cent détails et y ajoute des politesses. M. Talbot le dénature, tantôt par décence et tantôt par ingénuité. Belin de Ballu, ne voulant ni s’en occuper lui-même, ni laisser une page blanche au milieu de sa traduction, reproduit simplement la fantaisie d’Ablancourt ; mais il a soin d’écrire en note : « Il est bon d’avertir qu’il n’y a pas un mot de cela dans le texte. » (T. IV, p. 392.)