Page:Louÿs - Œuvres complètes, éd. Slatkine Reprints, 1929 - 1931, tome 1.djvu/169

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.



CXXXII


Je n’ai plus la manie des éphèbes au cœur ;
  pourquoi serait-ce doux, Erôs,
 D’aimer des hommes, si n’ayant rien donné je
  voulais prendre ?
La main appelle la main ; une belle maîtresse
  attend
 De tout homme des amours viriles.