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ENCORE LES TURCS
Décembre 1912.
J’ai si mal et si gauchement défendu mes amis turcs, dans une lettre récente, que je veux y ajouter ceci comme un post-scriptum. J’avais parlé de fuyards, parce qu’on me l’avait dit. Dieu merci, c’étaient des fuyards isolés ; les nouveaux détails venus de là-bas leur laissent leur couronne de gloire : ils se sont battus comme des lions, malgré la faim qui leur torturait les entrailles, malgré l’insuffisance présomptueuse d’un gou-