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plus grand tort à la Turquie, surtout pendant la guerre de 1683. Cette générosité avec laquelle les Turcs nous accueillirent est un exemple sans pareil. Le sultan d’alors, Abdul-Medjid, en protégeant ainsi les réfugiés polonais, risquait cependant de s’attirer une guerre terrible.

Votre livre nous a causé une consolation si grande que je ne puis vous l’exprimer. Le directeur de notre Université, un vieillard respectable, qui avait vécu vingt ans parmi les Turcs, s’écria presque en pleurant, après avoir fermé votre livre : « Vraiment il a élevé un monument impérissable, non seulement dans le cœur des Musulmans, mais encore de tous ceux qui les connaissent », etc…


XXV

Fragment d’une lettre que m’écrit une dame russe.


La photographie que vous reproduisez sur la couverture de votre livre a remué tous