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de soldat, l’honneur et la véracité du soldat, mon correspondant.

Pour la bonne réputation de la presse française, j’espère qu’il ne se trouvera pas un seul journal français pour oser ne pas reproduire les termes essentiels de cet écrasant témoignage.

La cause est entendue.

Nous savons, des musulmans et des orthodoxes, lesquels sont les bourreaux, lesquels sont les victimes.

Et nous savons aussi, de M. Pierre Loti et de ses insulteurs, lequel est le grand honnête homme, lesquels sont les aboyeurs à gages.

CLAUDE FARRÈRE.


II


Maintenant ce passage de la lettre que je reçois aujourd’hui même d’une religieuse française, supérieure d’une des plus grandes