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LI


« Gâteaux ! gâteaux ! mes bons gâteaux tout chauds ! » Elle avait repris ses courses nocturnes, son pas rapide et son refrain, la bonne vieille marchande. Régulière comme un automate, elle passait, avec le même empressement, aux mêmes heures. Et les longues veillées d’hiver étaient recommencées, pareilles à celles de tant d’années précédentes, pareilles encore à celles de deux ou trois années qui suivirent.

À huit heures toujours, les dimanches soir, arrivaient nos voisins les D***, avec Lucette, et d’autres voisins aussi, avec une toute petite fille appelée Marguerite qui venait de se glisser dans moi intimité.

Cette année-là, un nouveau divertissement fut