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LE ROMAN D’UN ENFANT
Plus tard, pour mes amusements, j’en ai eu bien d’autres, moins faciles à conduire ; mais, de tout temps, j’ai préféré les composer ainsi d’êtres plus jeunes que moi, plus jeunes d’esprit surtout, plus simples, ne contrôlant pas mes fantaisies et ne souriant jamais de mes enfantillages.