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Voici venir un grand nègre qui nous cherche, car il se fait tard… et les esclaves ont commencé à chanter et à jouer du luth pour amuser les vieilles dames. On nous obligera tout à l’heure à danser et on nous défendra de parler français, ce qui n’empêchera pas chacune de nous de s’endormir avec un de vos livres sous son oreiller.

Adieu, notre ami ; pensez-vous parfois à vos trois petites ombres sans visage ? DJÉNANE." XVII