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cimetières, étagés parmi la verdure ; chaque rue qui s’éloigne de la rive, chaque rue qui monte finit toujours par y aboutir, et on rencontre fréquemment d’extraordinaires cortèges qui s’y rendent, accompagnant quelque Nippon défunt que l’on conduit là-haut, là-haut, dans une gentille chaise à porteurs…